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Museum der Bruderschaft „Archicofradía de la Esperanza“

Musée de l’archiconfrérie de la Esperanza


Des objets d’art religieux comprenant des peintures, figures taillées, orfèvrerie et broderies. Le musée a deux étages sur une surface de 400 m2. À souligner le « Retable de la passion », monumentale peinture murale néo-cubiste de Rodríguez Acosta, ainsi que la fresque du plafond, d’Eugenio Chicago, qui relate l’histoire de l’archiconfrérie ; on admirera aussi les trônes du Nazareno del Paso et de Maria Santísima de la Esperanza.

La collection

Cette confrérie fait l’objet d’une grande dévotion chez les Malaguènes ; les statues de ses saints, que l’on peut admirer dans l’église, méritent une mention spéciale. Le Christ, œuvre de Mariano Benlliure de 1935 représentant un nazaréen soulevant sa croix, présente la particularité que l’un de ses bras est articulé. Ce qui lui permet tous les ans de bénir l’assistance lors de sa procession sur la place de la Constitution.

María Santísima de la Esperanza est une œuvre anonyme du XVIIe siècle dont seule la tête a été conservée suite aux incidents de 1931. Le corps et les mains sont de Luis Alvarez de 1970.

La Douloureuse étant une sculpture habillée, certaines de ses jupes sont exposées dans ce musée. L’œuvre la plus remarquable étant la Couronne de la vierge, une œuvre d’orfèvrerie en argent massif réalisée de 1963 avec des montures d’émeraudes, des brillants, des perles et du marbre.

Au rez-de-chaussée, soulignons les trônes de la Real Archicofradía del Dulce Nombre de Jesús Nazareno del Paso y María Santísima de la Esperanza. Le trône du Christ en bois polychrome est l’œuvre de Palma Burgos, tandis que celui de la Vierge est l’œuvre du sculpteur Andrés Cabellon de 1949.

Au même étage sont exposés les étendards réalisés par des peintres de prestige tels que Félix Revello de Toro qui a son propre musée à Malaga. Il existe une grande variété d’accessoires de procession : cors, gourdins, labarum et lanternes. Les banderoles des cors exposées au premier étage associent broderie, orfèvrerie et ivoire sculpté.

L’œuvre de l’artiste grenadin Miguel Rodriguez-Acosta « Retable de la passion » a été réalisée alors que les saints de la confrérie résidaient au couvent de San Carlos et Santo Domingo. La peinture murale néoromantique datée de 1962 et transférée sur une toile en 1993 est actuellement exposée au deuxième étage de ce musée.

Le bâtiment

L’idée de ce musée a germé en 1975 mais ce n’est qu’en 1988 que la construction du siège de la confrérie a été achevée.En 1993, en présence de l’Infante Elena, s’ouvre ce musée qui occupe environ 400 mètres carrés.

Le musée se trouve dans un bâtiment annexé à l’Église, auquel on accède depuis un patio andalou. Il occupe l’espace consacré au montage et à la sortie des trônes, une enceinte rectangulaire, diaphane et polyvalente. Au premier étage, formant des saillies sur les trois murs de la pièce, se trouvent les vitrines contenant les accessoires processionnels.

Soulignons les fresques du plafond, œuvres du peintre Eugenio Chicago, qui racontent l’histoire de la confrérie.


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