Bronze du sculpteur José María Córdoba, cette œuvre fut exécutée à la demande de la Maison Royale Danoise. Elle représente l’écrivain danois assis sur un banc, dans une posture détendue. Une scène qui pourrait refléter à la perfection certains de ces moments que l’auteur de La petite sirène a passé dans notre ville pendant les premiers jours d’octobre 1862 et qu’il a recueillis dans son récit Voyage en Espagne.

Captivé par la beauté de Malaga, par la mer, sa lumière et ses habitants, Andersen écrivit que « nulle part ailleurs en Espagne je ne suis parvenu à me sentir aussi heureux et à l’aise qu’à Malaga ». L’œuvre invite à se rapprocher et à s’asseoir près de l’écrivain, à admirer et à respecter son œuvre, à apprécier une façon de voyager dont il fut le pionnier dès le XIXe siècle.

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